Chambre de Véconielle (je vous renie tous!)

Véconielle ... jamais ... jamais que je l'Abandonerais je l'aime trop pour sa ... elle est une partit de toi ... et je ne prendrais pas la chance de te perdre encore plus ... c'Est ta fille ... et sa restera la mienne ... rien ne changera et si sa change sa sera pour le mieux je vais me rapproché d'elle ... j'Espère juste qu'elle le prendra pas mal ... elle a perdut sa mère me perdre la rendra peut être ... j'aime mieux pas y pencé ...sa serais comme perdre ses deux parents ...

puis il glissa ses mains contre sa taille venant déposé un baissé dans son cou il baissa la tête commencant a voir son corps s'envolé il bredouilla :

Tu ..tu dois partir ... ? ton corps ... il se dématérialise ... je t'aime véconielle ... et sa pour toujours je veux que tu le saches !

Ces paroles firent naître un doux sourire sur son visage. Juste avant de disparaître en fumée, elle se leva sur le bout des orteils pour aller déposer un petit baisé sur sa joue puis passa ses mains autour de son cou. Elle murmura avec son plus beau sourire avant de se dématérialisée en brume sombre:

-Moi aussi, je t'aime...!

Passant par là, Émily entra sans un bruit; pas besoin de parler, la gamine savait surement pourquoi elle était venu ici... La jeune femme prit soin de bien barrer la porte derrière elle avant de la refermer complètement. Elle se retourna vers Eudémonia, qui était recroquevillée sur elle-même près de la fenêtre. Émily ne put s'empêcher d'avoir un sourire à la fois méprisant et amusé; elle ne l'avait encore jamais vu aussi piteuse. La jeune femme s'avança plus près d'elle puis, s'arrêtant à quelques pas, laissa tomber d'un ton dangereux:

-Alors...? Tu n'as pas tenu ta promesse, à ce que je constate...

Dans un sursaut, Eudémonia releva vivement la tête vers la petite amie de son père qui la fixait d'un de ses regard qui lui donnait des frissons de la tête aux pieds. La jeune fille sentit son coeur s'emballer, cognant douloureusement dans sa poitrine; elle devait le savoir.... Elle devait savoir que Daisuké était au courant de tout.... Sinon, Émily ne serait jamais venu ici... Se mordant la lèvre pour cacher le tremblement de sa voix, l'adolescente répondit, bien consciente que ce n'était que des mensonges d'un bout à l'autre:

-Euh... non, non! Je n'ai...rien dit!

-Tu n'as rien dit..? répéta-t-elle toujours aussi méprisante avant de hausser le ton, pour ne pas dire hurler carrément Espèce de menteuse! Alors explique pourquoi tu n'as pas pointer le bout du nez durant deux jours! Vas-y, j'attend! continua Émily en s'approchant dangeureusement, voyant qu'elle ne voulait pas lui répondre.

Voyant que la jeune adolescente s'empourpait et ne disait rien de plus, Émily, prise d'un impulsion subite, lui arsena une solide giffle, oubliant sa main qui lui picotait affreusement par après dû au choc. Cette fois, ce fut au tour de la jeune femme de devenir rouge alors qu'elle criait comme une démente:

-Alors? C'est tout?! C'est maintenant que tu avoues? Espèce de petite idiote! Je t'avais dit de ne rien dire du tout! Si ton père venait qu'à l'apprendre.... la jeune femme marqua une pause, reprennant son souffle saccadé, avant de se calmer et de sourire sadiquement. Émily s'approcha d'Eudémonia pour lui souffler méprisamment, sa main se refermant lentement contre son cou, Te souviens-tu de ce que j'avais dit que je ferais si tu avais le malheur d'en parler...? Moi, je n'oublie pas mes promesses, ma grande...

Émily ne put refouler un sourire carnassier alors que cette insignifiante gamine commençait à chialer bêtement; quelle idiote... Et après on se demandait d'où elle tenait ça... La jetant violement sur le sol, elle renonça à l'étrangler tout de suite; bah, ç'aurait gâché le plaisir, de toute façon... Durant une heure, la jeune femme la frappa sans arrêt jusqu'à ce qu'elle lui fende presque un bras. Elle eut une violente envie de rire, mais se retint avec un sourire de fou, fixant plutôt Eudémonia qui, une fois de plus, était allongée à ses pieds en pleurant toutes les larmes de son corps. Émily tourna les talons et, juste avant de la quitter, lui lança par dessus son épaule:

-Je m'attends à ce que tu te taises, gamine! J'espère que tu as eut ta leçon! voyant qu'elle ne répondit pas, son bourreau s'arrêta et haussa le ton, Tu réponds, oui?! Elle resta encore muette. Émily reprit avec un ricanement méprisant, Bah, ce n’est pas mon problème, tu sais! Cela veut juste dire que tu en auras le double demain, c’est tout! Puis la jeune femme partit en fermant la porte derrière elle avec un grand rire de fou.

Daisuké dut subire des regards haineux tout le monde la voyait eudémonia sauf lui tout ses plaies sa retombais sur sa faute il se fouttait pas mal le monde qui pouvait croire qu'il lui fessait subir sa c'était des con ... et pas de vrai amis . Il en avait mard de la laissé seul voulait tellement lui rendre visite le soir venut il s'habilla passa dans le jardin y ceuillir quelques fleurs il avait si peur de ne pas être parfait il s'avanca vers la fênetres c'était fermé et les rideaux de même il gossa un peu puis elle finit par clanché il poussa les rideaux apparaissant un sourire pettant de joie quand ses yeux se déposèrent sur son amie meutris son regard s'Affaissa pour même devenir triste si triste il s'approcha posa sa mains sur sa tête puis il laissa les larmes coulées sur ses joues :

Eu...eudémonia ... ?

il la serra pas trop pour ne pas lui faire mal , ses bras se perdant sur le corps de la petite si maigre il glissa un baissé sur ses lèvres sa mains parcourant ses cheveux blond et ses yeux les blessure de sa Meilleures amie celle sur qui il avait juré de gardé l'oeil ... il glissa ses bras sur ses hanches pour sentir son vêtement mouillé humide il retira sa mains pour y voir du sang il se mordit la lèvre déposa le bouquet sur le lit la prit la levant toujours en la serrant et en fessant attention a ne pas lui faire mal quoi que juste en posant ses mains sur elle sa devait lui faire mal il s'Assit sur la toilette elle dans ses bras fit coulé l'Eau du bain la caressant d'une douceur inexplicable . Il toucha l'eau sans remplis le bras pour voir si elle était chaude il fit la mit vraiment tiède il passa ses bras sous son vêtement l'idée de même la matté était disparut elle était carrément meutris la soigné était la seule choses qu'il voulait il retira la petite robe qu'elle avait pour glissé sa mains sur son petit corps blême il la colla contre lui et doucement il la déposa dans le bain caressant sa tête il bredouilla :

Je ..je suis si désolé ... comment j'ai put ...

il prit une serviette foncé puis doucement il fit de son mieux pour désinfecté ses plaies tenant sa mains se fut un calvère de la voir sous ses yeux ainsi il prit son temps tout pour ne pas lui faire mal après il l'Enroula dans une grande serviette puis il la souleva il c'étai fait les muscles juste pour elle XD il l'apporta sur le lit la colla contre lui l'embrassa pour poussé les fleurs plus loin il se sentait si minable il bredouilla :

Comment j'ai put la laissé faire sa !

grogna t'il en laissant les larmes inondé ses joues il murmura d'un ton sombre :

Je ..je vais la tuer ...

Eudémonia se blottit faiblement contre lui, fermant les yeux. Elle n'avait même pas essayer de l'arrêter tout à l'heure. Même pas lorsqu'il l'avait prit dans ses bras ni même lorsqu'il l'avait dénudé pour la soigné; c'était comme si ces détails était sans importance à ses yeux... La seule sensation de sa peau chaude contre la sienne pendant à peine quelques minutes aurait suffit à être capable de continuer de vivre comme ça durant encore trois longues semaines si elle savait que c'est ce qui l'attendait au bout... La jeune fille n'arrivait même plus à ouvrir les yeux; ou, peut-être, elle ne voulait plus... Ne voulait plus voir des gens souffrir à cause d'elle... Oui, c'était ça... Elle n'en pouvait tout simplement plus y faire face. Une autre pensée bien plus troublante vint la secouer impitoyablement. L'adolescente leva à contre-coeur des yeux rougis vers Daisuké, qui lui caressait la joue en lui murmurant de douces paroles à l'oreille, puis chuchota, tremblante:

-Daisuké.... Pourquoi tu es revenu...? Tu peux te faire prendre... Mon père peut arriver d'une minute à l'autre, et Émily tout autant... Et si elle me voit avec toi, ça serait dix fois pire... non, cent fois pire..! Je... va-t-en... Je ne veux pas...que... non.. c'est....., la jeune adolescente baissa la tête en rougissant bêtement; elle s'enfargeait dans ses mots, s'en était maladif... Elle continua par la suite, sans même lever la tête pour confronter son regard suppliant, Va...va-t-en... Je... je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit... Et le pire, c'était qu'elle le pensait vraiment... Que c'était la vrai vérité... Elle ne lui avait pas mentit, cette fois; elle s'inquiétait vraiment pour lui... Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit... C'est une vrai folle... Elle pourrait aussi bien te faire la même chose qu'à moi... S'il te plait... Pas après tout ce que tu as fait pour moi... Je... je n'en dormirais plus... Ça me tuerait de savoir...

Daisuké l'Embrassa langoureusement les larmes coulant tout auant sur ses joues il ne voulait plus l'Entendre lui lM'entendre sinquiété pour lui après qu'elle avait subit il caressa ses cheveux encore et encore pour reglissé sa langue contre la sienne caressé sa figure si jolie il la trouverais belle même défiguré l'amour qu'il portait vit a vit elle c'était fou se n'était même pas humain si il aurait put subir sa a sa plae il l'aurais fait volontier il refuserait même de la voir si elle lui disait que plus jamais elle ne lui ferait du mal ... il renoncerait a elle pour qu'elle cesse de souffrir c'était fou il ne pouvait se passé d'elle mais si c'était pour qu'elle cesse de souffrir il le ferait. Daisuké murmura d'un voix si déchirante en la serrant contre lui :

Je te laisserais plus jamais seule jamais plus elle te retoucheras ... tu m'entend jamais ...

il se leva prit des truc le lui mit dans un sac personne n'aurais put l'Arrêté il partait d'ici et avec elle si il fallait il la porterait sur son dos jusqu'aux bout du monde elle ne reviendrait pas ici ... il prit des truc pour pouvoir la soigné a la cabane il avait apporté hyper bouffe dans la cabane il en aurait pour des mois il la prit dans ses bras et il bredouilla :

Sa peux plus durez il est aveugle ton père ... il ne te vois pas comme sa ... ou il sans fou... il a beau avoir de la peine il ne peut pas abandonné son enfant comme sa ...

il glissa sa mains dans ses cheveux puis il murmura :

Vien avec moi ... je t'en prix ... je partirais pas sans toi ... je t'ai abandonné une fois je ferais pas la même erreur ... elle est folle jamais elle ne cessera de trouvé des truc pour te frappé tu es rendut si maigre ... tu es carrément couvertes de plaie elle ne laisse même pas les plaie se refermé ... Si tu me suis pas je t'apporte ... ou on reste ici ... je pard pas sans toi ...

Eudémonia le regarda longuement avec une paire d'yeux suppliants; non... Elle ne partirait pas avec lui, elle ne le pouvait pas... Son père ne voudrait jamais... La jeune fille baissa la tête puis se mordit la lèvre pour ne pas fondre en sanglots amers. Elle était déchirée entre deux choix; suivre Daisuké et ne plus jamais avoir à confronter Émily de toute sa vie, ou rester avec son père. Ce dernier avait beau ne pas se rendre compte de tout ce qu’elle subissait, il était tout de même son père et elle l’aimait..! Elle n’allait pas le laisser avec sa folle de petite amie qui pourrait lui faire faire n’importe quoi et le faire agir n’importe comment. L’adolescente n’était pas idiote au point de ne pas avoir remarqué qu’Émily était une des femmes les plus ambitieuses et manipulatrices de la planète terre, doublée d’une opportuniste et d’être dotée d’une cruauté sans pareil. Non, elle ne pouvait pas la laisser faire tout ce qu’il lui chantait à Maxime. Eudémonia releva un regard humide et souffrant vers Daisuké qui attendait qu’elle se décide mais le simple fait de croiser son regard décidé lui fit piquer du nez une fois de plus; ce qu’il pouvait être difficile à vivre, quand il voulait…! La blessée aurait aimé lui faire savoir tout ce qu’elle pensait, mais une boule au fin fond de sa gorge l’empêchait d’articuler quoi que ce soit sans qu’elle se mettre à sangloter rageusement. Une petite voix intérieur lui hurlait de se dépêcher, de choisir quelque chose à faire, aussi stupide fut-il, mais elle n’arrivait pas à se décider; ses pensées se bousculaient impitoyablement dans sa tête, lui faisant perdre le court de ses entendements agités. La jeune adolescente sentait comme un danger… Elle serra des dents, s’appuyant sur le rebord de son lit pour, avec toute sa volonté, se relever et se tenir debout malgré les tremblements de ses jambes et la douleur qui lui faisait perdre la tête. Eudémonia ne releva même pas la tête vers l’intéressé alors qu’elle maugréait entre ses dents serrées, l’empêchant d’haleter du même coup:

-D..Daisuké… Va…va-t-en… je te dis… Ça ne va qu’empirer les choses… Je ne suis pas pour partir… bêtement comme ça… C’est… Stupide…

Alors je reste ici avec toi je te suivrait partout ... je ne te laisserais plus seul ...

Il la prit dans ses bras pour la retenir de tombé ont aurait dit qu'elle allait toujours tombé il vint posé sa mains dans le bas de son dos pour la faire assir venant doucement se penché pour new pas lui faire mal se retrouvant la face quasiment dans sa poitrine il recula puis il sourit bêtement pour venir prendre sa taille et s'Assir doucement accottant un de ses genoux sur le lit pour se collé contre elle il posa ses lèvres sur les siennes :

Tu ne me feras pas décollé d'ici !

-J’ai bien entendu…? Partir…? Répéta Émily avec un large sourire, cette dernière venant s’adosser au cadre de la porte. Elle était entré dans le plus grand des silences pour écouter toute leur petite conversation; elle avait tout de suite sentit que quelqu’un autre qu’elle ou Maxime avait pénétré dans la chambre de la gamine. Devant l’ahurissement des deux jeunes, la jeune femme éclata d’un rire à donner froid dans le dos avant de poursuivre avec le même sourire de fou, Vous devez vous demander comment cela ce fait-il que je sais que ce garçon est entré ici? Haha! Eh bien, c’est assez simple! Le kekkai que j’ai magiquement installer ici fonctionne très bien, comme vous êtes sans doute en mesure de le constater! Entendant Eudémonia éclater en sanglots bruyants derrière Daisuké, Émily prit un air faussement apitoyée et franchement méprisant avant d’ironiser, Hoonn… Pauvre elle! Daisuké, va donc la consolée avant que je ne te foutte dehors!

Eudémonia, terrifiée, sanglotait comme une enfant, accrochée désespérément aux vêtements de Daisuké, tel un petit chaton apeuré; Émily les avait découverts et la jeune fille pouvait s’attendre à la plus solide des raclées de sa petite vie minable… Non …. Non..! Non!! Elle allait vivre un véritable enfer, c’était la seule chose qui était sur, maintenant… La jeune fille ne pensait même plus, la seule chose occupant son esprit étant que la jeune femme était ici et les avaient surprit ensemble : *Je vais mourir… je vais mourir..!* songeait Eudémonia en s’accrochant, angoissée, à son meilleur ami, une mer de larmes inondant ses joues meurtries. Ses tourments étaient tels qu’elle se serait jetée à genoux devant son bourreau, pleurant et implorant sa pitié, oubliant tout autant le peu de dignité qui pouvait bien lui rester. La tension la torturait au point où elle gémissait des supplications à peine audible à travers ses pleurs hystériques, tremblant comme une feuille de la tête aux pieds :

-Ne… Ne me tuez pas… Ne me tuez pas… Je vous en supplie… je vous en supplie….!

Daisuké grogna et il la frappa vraiment fort pour même se penché après qu'elle soit tombé au sol pour aggrippé sa gorge et la refrappé grognant :

ESPÈCE DE SALOPE ! TU NE LA TOUCHERAS PUT SA JAMAIS ! TEMPS QUE JE SERAIS AVEC ELLE TU M'ENTENDS !

SI ELLE NE PARLE PAS C'EST MOI QUI PARLERA A SON PÈRE JE LUI DIRAIT SE QUE TU FAIS SUBIR A SA FILLE PIOUR AVOIR UN HEURE DANS SON PUTAIN DE LIT ... IL T'AIME PAS IL A PERDUT SA FEMME ET TU PROFITE DE LUI COMME UN VULGÈRE ANIMAL TU TUE SA FILLE A PETIT FEU ET TU LE RÉALISE MÊME PAS VA TE FAIRE SOIGNÉ !

il était tellement furieux il était plus grand qu'elle et oplus cstaud elle avait aucune chance de se débattre contre lui sauf si elle avait un objet dure ou coupant il lui donna un coup dans el ventre la xcollant contre le mur il lui redonna un autre coup une frappe pour ne pas dire un coup de poing fermé par la tête elle saignait de la bouche il avait jamais été si furieux il se mit devant Eudémonia de facon a la protégé

Se tassant juste à temps, Émily évita touts les coups avec une facilité déconcertante. Après qu’il se fut tassé pour aller vers Eudémonia, la jeune femme lui sourit simplement avant de s’approcher de lui et, y mettant tout son pouvoir de charme, passa une main sur sa joue et, avec le plus beau des sourires, lui susurra à l’oreille, collée contre lui :

-Tu n’irais pas me dénoncer, voyons… Je n’ai rien fais… Tu ne crois pas…? C'est juste une petite gamine insignifiante, ne t'occupe pas d'elle...

Daisuké sentit son coeur et son corps l'abandonné ses doigts frolant son cou il eux le reflex de penché sa tête vers elle comme si tout d'un coup son corps l'avait abandonné il glissa son nez dans son cou son souffles y glissant bruyament il vint posé sa mains sur ses hanches pour grincé les dents puis venir levé les yeux son corps tremblant la magie qui l'empêchait de se débattre il sentait des pétiyement dans le bas ventre il vit Eudémonia sont regard désolant il lui fit signe de l'Aidé il ne pouvait tombé sur le charmes de cette bête il bredouilla d'une voix découragé sentant la magie monté en lui :

Non...non ...

Émily sentit un sourire sadique lui fleurir sur les lèvres, telle une rose noire et au pollen empoisonné qui intoxiquait sa proie, l'envoûtait. Elle approcha ses lèvres pulpeuses de son cou, le faisant envier davantage, puis murmura en pressant une main douce contre sa nuque:

-Mais oui... Je ne vois pas pourquoi tu te lie d'amour avec... cette miséreuse..., Elle eut toute la difficulté du monde à ne pas parler d'Eudémonia sans emprunter un ton de mépris extrème.
La jeune femme lui sourit, Daisuké toujours sur l'emprise de son puissant maléfice; il ne bougeait pas, ç'en était presque drôle. Émily eut un petit rire cristallin alors qu'elle se dégageait un peu de son étreinte pour prendre un bâton qui traînait dans le coin de la pièce. Elle se retourna vers Eudémonia en disant, méprisante plus que jamais:

-Je vois que je suis obliger de sévir... Elle détourna le regard vers Daisuké qui était coulé sur place et qui allait assister, impuissant, à la "torture" de sa petite amie.
La jeune femme lui sourire sadiquement avant de faire s'abattre son bâton sur la gamine, la faisant hurler comme une démente. À chaque fois que son arme la mutilait, Émily ne pouvait s'empêcher d'éclater de rire. Bien sur, elle avait renforcer le sort qui entravait les mouvements et l'esprit de Daisuké; elle n'avait aucune envie qu'il se retourne contre elle... Après une heure de cris déchirants et de rire débiles, Émily se retourna avec un sourire, comme si de rien était, puis soupira:

-Ah... je commence à me fatiguer... Daisuké, tu ne veux pas venir me remplacer? Puis, sans qu'il n'aie eut le temps de répondre, elle lui mit le bâton dans les mains puis, se mettant à l'écart, ressera une nouvelle fois son emprise sur son esprit; il n'allait pas lui résister, cette fois; ça gacherait tout son plaisir... Cette pensée ne manqua pas de la faire sourire une fois de plus...

Eudémonia se replia sur elle-même, en proie à une terrible douleur, autant mentale que physique; pourquoi…? Pourquoi donc s’acharnait-elle aussi inhumainement sur elle…? La jeune fille n’avait-elle pas encore assez l’air piteuse comme ça?! Elle pleurait amèrement dans un coin de la pièce, espérant se soustraire à leurs regards tranchants qui semblaient la débiter en petits morceaux jusque dans le fond de son âme. Elle aurait tellement voulu s’enfoncer dans le sol, se fondre dans le décor… Disparaître… Tout simplement… À travers ses larmes qui coulaient en torrents sur ses joues rougies, elle arrivait à distinguer une petite flaque de sans à ses pieds; son sang… Qui roulait en petites gouttes sur le long de sa jambe pâle… L’adolescente faisait plus pitié que jamais; sa lèvre inférieure était fendue, sa joue gauche affreusement enflée, tout comme ses bras, ses jambes… Partout… Il n’y avait pas un endroit encore indemne sur son petit corps frêle. Mais c’était sa jambe qui la tuait plus que tout le reste. Elle se surprit à penser avec une ironie des plus triste qu’Émily, malgré tout ses nombreux défauts, savait au moins bien viser...; La jeune femme ne l’avait vraiment pas ratée, frappant pile où se trouvait sa grosse blessure à la jambe; elle pouvait envoyer balader à coup sûr ses espoirs de marcher à nouveau pour les trois prochaines semaines qui viendraient… Eudémonia avança une main maigrichonne et meurtrie vers un pan de sa jupe imbibé de sang pour vérifier sa plaie que Daisuké fixait avec des yeux horrifiés, chose qui l’angoissa davantage. Ce qu’elle y découvrit lui donna un violent haut-le-cœur. Elle porta immédiatement la main à sa bouche pour s’empêcher de vomir, faisant naître de nouvelles larmes dans ses yeux bleu clair. Elle n’avait jamais vu quelque chose d’aussi écœurant de toute sa vie; sa lésion avait carrément éclatée… On aurait dit que c’était plein de pus et, même, de moisissure. Dégueulasse..! La jeune fille s’empressa de replacer sa jupe sur sa blessure pour cacher cette horreur, étouffant une nouvelle envie de dégueuler. Toute tremblante et les pleurs lui montant à la gorge, elle essaya de replier sa jambe mutilée contre elle, mais cela ne fit que lui arracher un gémissement de douleur qui se fondit à travers ses larmoiements. L’adolescente leva des yeux humectés de larmes vers Daisuké qui tenait dans ses mains crispés le bâton qu’Émily avait utilisé pour la battre; non… Elle ne pouvait pas non plus pousser le vice jusqu’à obliger son meilleur ami à continuer le sal travail qu’elle avait déjà commencé?! Se mettant à trembler de manière incontrôlable, Eudémonia détourna une fois de plus le regard vers Émily qui souriait de toutes ses dents, faisant piquer du nez une nouvelle fois la jeune fille qui sanglota délibérément. Elle se rappela avec amertume ses tentatives précédentes pour ne pas pleurer alors qu’Émily la frappait à en mourir…; au diable, son honneur! Elle s’en fichait éperdument, maintenant, de son honneur! Elle ne pouvait pas tomber plus bas, alors, à quoi bon..? Elle balbutia difficilement, une boule dans la gorge :

-D…Daisuké… non…, Eudémonia ne fut plus capable d’articuler quoi que ce soit d’autre, fondant en sanglots amers une nouvelle fois…

Daisuké regarda Émily un regard rougis il sentait son corps l'abandonné comme si tout flottait autour de lui il voyait Émily collé contre lui fessant son aguicheuse il vint aggrippé son poignet serra si fort puis la magie gagna complètement son corps et ses pensés . Il la sentit se décollé il tentat temps bien que mal de la retenir il poussa un grincement de vulnérabilité pourquoi être un fouttu homme . Daisuké laissa les larmes inondé son visage en la voyant la battres ainsi il semblait ses jambes le quittés la voir se faire battre a nouveaux c'était la qu'il aurait voulu lui sauté dessus la frappé comme jamais elle osait faire sa a son amis . Il fut dégouté de voir Eudémonia si faible et Émily qui riait en la frappant après cette longues heures de souffrance pour lui comme pour Eudémonia il aurait voului hurlé tout défoncé la tuer ... mais au lieux de sa il la désirait son corps semblait des plus merveilleux . Daisuké ferma les yeux recherchant une pointe d'inteligence dans tout cette fouttut magie quand il sentit ses mains se refermé sur le baton Émily lui murmurant de continuer son travail il sentait un liquide chaud coulé sur ses doigts il ouvrit les yeux horrifiers pour voir le sang sur le baton et sur ses mains voir la plaie de Eudémonia sur sa cuisses il hurla il cria et sanglota amèrement :

Arrêté ...je vous en prix ...arrêtez ...

il regarda Eudmonia puis il se laissa tombé a genoux pour s'Approché d'elle malgré tout se pouvoir il entoura ses bras autour d'Eudémonia puis il glissa ses lèvres sur son oreilles la retenant de s'éffondrer il bredouilla :

Arrêtez ... frappez moi mais laisser la ... je vous en prix ...

il glissa ses lèvres dans son cou pour caressé sa joue doucement il retourna son regard vers Émily pour bredouillé :

Regardé là il y a même plus une place qui pourrais fendre ... elle est a moitier morte ...

il enfouit sa tête dans le cou d'eudémonia la serrant contre lui l'empêchant qu'elle ne la refrappe personnes ne pourrait le faire tassé de là même toute la magie n'aurais rien fais