Chambre de Véconielle (je vous renie tous!)

Nombre de messages : 280 Age : 32 Date d'inscription : 29/12/2007

Eudémonia se blottit contre Daisuké, pleurant à en fendre l'âme. Sa blessure et toute cette douleur lui faisaient carrément perdre la tête; elle aurait voulu ne plus jamais ouvrir les yeux, s’endormir et y rester… Après tout, songea-t-elle avec animosité, ne méritait-elle pas une petite pause…? La simple vue de sa jambe avait suffit pour la terrassée, lui levant le cœur au plus haut point; elle n’avait jamais cru que ça puisse être aussi terrible… Vivement qu’Émily aie au moins un peu de cœur et qu’elle les laisse un peu… La simple pensée d’avoir un peu de répit fit naître un semblant de chaleur en elle; après tout ce que l’adolescente avait endurer, c’était la moindre des choses; bah… C’était que du délire… Un délire qui allait bientôt prendre fin et qui la ramènerait à sa petite existence insipide avec tout ses hauts et ses bas. Plutôt peuplée de bas, disons… Ces pensées mirent immédiatement un terme à ses songes quelque peu joyeuses qui peuplaient son esprit quelques secondes plus tôt, tel une guillotine. La jeune fille s’accrocha aux vêtements de Daisuké, brusquement ramenée à la réalité et à toute cette souffrance qui la tailladait en morceaux, la faisant pousser des plaintes presque inaudibles mais combien douloureux. Elle se sentit progressivement presque possession d’elle-même alors qu’elle murmurait difficilement à travers ses larmes :

-Daisuké…, elle ne put rien dire d’autre, perdant connaissance sans un bruit.

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Daisuké sanglota amèrement quand elle partit il glissa ses bras autour du corps de la petite puis il la porta il pri le sac récament fait pour voir Eudémonia perdre connaissance accroché a ses vêtements il la blottit contre lui puis doucement se leva ses mains sur les fesses de la petite comme si sa avait été un petit bébé il la porta avec un seul bras retenant tout son corps de tombé au sol il prit le sac de l'Autre mains et il sortit par la fênetre pour marché rapidement la pluie tombant sur eux comme un torrent il était épuisé le simple fait d'Avoir résisté a la magie de celle ci il fit un faux pas puis il tomba au sol le simple reflexe de retenir la tête d'Eudémonia . Leur corps qui firent rapidement dans la boue il la reprit puis il rattrappa le sac pour la levé puissant dans ses forces pour la sauvé de cette folles il se diriga vers la forest rapidement

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Eudémonia entra dans sa chambre en sanglots incontrôlables; elle et Vanessa étaient allées voir à la cabane où elle avait vu Daisuké pour la dernière fois et il n'y était plus. Tout deux avaient cherchées toute la nuit mais sans résultats, allant même jusqu'à revenir les soirs pour le chercher durant une semaine. Les recherches s'étaient avérées vaines. Vanessa et Kurogané étaient rentrés chez eux, la jeune femme en pleurs, et l'autre essayant sans succès de la réconforter. Eudémonia se jeta sur ton lit, la mort dans l'âme; de toute sa vie, elle n'avait fait que briser des coeurs.... Son père, Daisuké et, maintenant, deux autres personnes... La jeune fille enfouis son visage dans ses couvertures pour pleurer librement. Elle avait tellement honte d'elle... Elle songea funestement qu'elle n'avait pas fait autre chose durant sa piètre vie. L'adolescente s'endormit en pleurant toutes les larmes de son corps, ne se réveillant qu'au petit matin, les larmes encore aux yeux. Elle ne se remit de son chagrin que quelques mois plus tard, se réveillant dans la nuit en hurlant après de longs et terrifiants cauchemars qui finissaient toujours par la faire sangloter amèrement dans son lit. Bien sur, Émily revint quelques fois en douce pour se vanger de son père qui l'avait plaqué d'une manière assez brutale et sanglante. Elle avait toute la jambe déformée et boitillait maintenant en permanance. Même si la douleur était insupporable à chaque fois qu'elle mettait le pied par terre, elle en était venu à endurer sans rechigner et sans même que ça paraisse. Eudémonia pensait souvent à celle qui fut longtemps son bourreau et ça se résumait en gros à: ''Tiens donc, elle a encore changer d'instrument de torture, pour ce soir...''. La jeune fille en venait à accepter de ce faire battre ainsi plusieurs fois par semaine; elle l'avait mériter, après tout... Tout le monde la détestait maintenant, de plus; le père de Daisuké, qui mettait tout le blâme de la disparition de son fils sur elle, tout les élèves du pensionnat, qui, eux aussi, la condamnait tout aussi injustement, et même son père; en tout cas, même si elle se faisait des illusions, elle en avait l'impression... Et sa défunte mère, qui avait la coûtume de lui apparaître deux ou trois fois par an, ne le faisait plus. L'adolescente se promenait toujours la tête basse et longeait les murs, lorsqu'il lui arrivait de sortir. De plus, comme si son tempéramment mainenant dépressif ne lui allait pas bien, elle était maigre comme un cure-dent et de grosses cernes noires lui barraient le dessous des yeux. Elle passa deux ans à déprimer ainsi sur son sort.... Un beau matin, alors que les premières lueurs de l'aube vinrent lui chatouiller les paupières, Eudémonia ouvrit les yeux difficilement. Avec un grognement, elle se redressa dans son lit et partit tout de suite s'habiller sans même prendre le temps de se regarder dans le miroir où de se peigner; ça la rendait d'humeur noire, de toute façon... Après avoir revêtit les vêtements gothiques que sa mère avait l'habitude de porter alors qu'elle était encore en vie, la jeune fille boitilla jusqu'à sa porte et, franchissant le seuil avec difficulté, disparût au coin du couloir...

Maxime avait encore vécus un deux ans sans elle , il glissa ses doigts contre le cadre de la porte ses doigts se crispant contre cette porte qu'il avait ouvert pendant des années pour entré et voir la mère de son enfant qui aujourd'hui il ne voyait a peine . Il savait qu'il n'avait pas put la protégé c'était plus fort que lui , il croyait dure comme fer que c'était sa fille et elle lui avait mentit depuis tout se temps c'était se salop qui l'avait violé qui l'avait mit enceinte . Il aurait du le savoir rien de cette petite fille ne lui ressemblait elle était bien trop belle pour avoir un seul trait de se pouilleux d'homme qu'il était . Il entra les jambe tramblotante pour touché les draps du lit défait. Sa fille devait dormir ici , il s'Apuiya contre le mur puis se laissa glissé au sol pour mettre sa tête entre ses mains et laissé coulée les larmes qui n'avait pas coulée durant ses années écoulées . C'était le seul souvenir qu'il avait d'elle il croyait , il leva les yeux vers la chambre puis ragea intérieurement il n'avait plus rien a faire ici avec cette folle dans les parages , sa fille ne lui parlait plus ...sa fille ... Eudémonia ne lui parlait plus et le reniait pratiquement maintenant il n'avait plus personne qui espérait encore sa présence . Il entra dans la chambre de son copain francis et fouilla dans quelques uns de ses tirroirs et il prit un petit pot et revint a la chambre si il avait a crevé il creverait ici . Il goba une après les autres c'est truc il ne savait pas c'était quoi mais il sans fouttait tout les médicaments prit a grande dose ne fond pas de bien au système . Il fut quinze minute avant de ressentir une chaleur insuportable en dedans il avait terriblement chaud et son ventre aurait put explosé que sa aurait fais le même mal qui ressentait il voyait pratiquement noir il aggrippa la photo de véconielle sur le rebord du bureaux puis la serra contre lui maintenant les remors temps de fois il était partit ans elle peut être juste une minute de plus aurait changé le fait qu'elle sois partit aujourd'hui , il sentit ses paupière lourde mais il se revit en train de changé la couche de la petite il ne savais jamais comment et falait toujours qu'il recommence et elle riait doucement elle semblait rire de lui mais il rit de la voir rire . Puis il finissait par l'Avoir il la cajolait chaque jour et le sourire de cette petite était fort et lui retirait tout ses mauvais moment il ne verrais plus le visage de cette petite si mignone et qui lui fessait temps pencé a Véconielle . Il courra vers la salle de bain pour dégobillé encore et encore . Accoté contre la toilette il ferma le couvert et la fit partir se leva mouilla sa figure puis se regarda une piètre état pas rasé depuis quoi trois semaine . Il prit sa douche ici s'imaghinant véconielle la prendre il sourit doucement puis il se r'habilla fouilla dans les tirroir de la chambre pour trouvé une paire de pentalon a lui il gardait quelque petit morceaux de linge il sourit en les sentant il sentait encore le parfum de véconielle il ne leur avait pas retouché et sa chemise il ne la mit pas il se coucha sur le lit et la sentit . Il finit par l'enfilé et resté assit dans se lit peut être espérait t'il un miracle ... ou de revoir seulement sa fille qui était surement ravisante , il espérait rien il resta simplement assit a fixé la chambre puis il en oublia le petit pot ouvert sur le petit bureaux , il s'endormit sur le lit serrant l'oreillé contre lui .

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Eudémonia entra en clopinant dans sa chambre, refermant doucement et le plus silencieusement possible la porte après avoir vu Maxime couché dans son lit; elle ne voulait en aucun cas le réveillé. Enfin... Si...! Mais c'était seulement pour qu'il décampe vite-fait avant que Daisuké ne pointe le bout de son nez; la dernière fois qu'ils s'étaient retrouver en face à face, ça avait mal tourner pour son ancient ami... La jeune fille s'approcha lentement du lit dans lequel dormait son père pour s'assoir à côté de lui et lui caresser les cheveux. Elle chuchota, le secouant un peu par l'épaule:

-Psst..! Papa...! Réveille-toi! L'adolescente lui laissa le temps d'ouvrir les yeux alors que son regard balayait la pièce, remarquant avec agacement un pot "non-identifié" sur son bureau...

Maxime perdut loin dans ses rêve sentit une mains contre son bras puis des petits bruits il ouvra les yeux puis il les referma pour doucement s'asseoir sur le lit et les yeux grand ouvert regardé Eudémonia qui fixait le pot il glissa sa mains vers le pot puis le serra contre sa paume pour la regardé puis murmuré :

T'aurais pas du voir sa ...

il soupira puis il regarda Eudémonia pour murmuré :

Tu sais ma chérie j'en n'ai gros sur le coeur depuis la mort de ta mère ... dernièrement elle ma dit que ... je n'était pas vraiment ton père ... elle a été violé ... et ... tu es de cette homme ...

il soupira puis il la regarda de haut en bas posa sa mains sur le derrière de sa tête et il la serra contre lui comme jamais il ne l'avait serré il posa un baissé sur l'oreille :

Je t'en voulais casiment ...je suis con tu sais ...et fais bien que tu ne soyent pas ma fille comme sa ... t'aura peut être pas se côté con ... mais je veux que tu saches que je t'Aime ... et je t'ai quand même changé de couche ... je prendrai plus soin de toi ... je te le promet et ... vien me voir quand tu veux un problème ou peut importe ... je m'inquiète ... pour toi ... tu est rendut si mince

il glissa sa mains contre sa joue et murmura en lui maintenant la tête pour qu'elle le regarde droit dans les yeux maintenant furieux contre elle et contre lui :

Émily ... na pas continuer de te battre? Eudémonia ... dit moi pas ... que...

il regarda son corps puis il vint la collé contre lui pour voir cette plaie béante encore ouverte sur sa jambe , il glissa sa mains contre sa blessure puis il murmura :

Elle na pas été réouverte naturellement et sa parait trop ... Je t'en prix eudémonia ne me dit pas qu'elle continue ... pourquoi ne me dit tu rien ... pourquoi ne dit tu rien a personne...

il disait sa doucement il ne povait pas l'oubligé a lui dire mais la mettre en confiance lui dire qu'il serait toujours la pour elle .

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Eudémonia l'écouta tout débiter ça, une pointe lui meurtrissant le coeur impitoyablement; Il... Il n'était pas son père...? Même si, parfois, elle l'avait détester et s'était affreusement sentie délaissée, ça lui faisait mal... Trop mal... La seule personne sur la terre qui la connaissait mieux que tout le monde et, malgré tout ce qui avait pû se passer, avait adorer pendant toutes ces années n'était même pas son vrai père. La jeune fille aurait sangloter de tout son saoul mais quelque chose lui disait de ne pas suivre son élan. Elle l'écouta avec plus ou moins d'attention alors qu'il continuait; il l'aimait encore, c'était déjà bien... Une pensée lui traversa l'esprit alors que Maxime poursuivait son monologue; Alors.... Elle n'avait plus à rester ici, si n'était pas son père, en fin de comte.... Elle avait toujours rester avec lui pour ne pas qu'il lui arrive de choses mauvaises à cause d'Émily, mais maintenant qu'elle était partie et que Maxime n'avait plus aucune lien de parenté avec elle, elle partirait. Alors qu'il lui demandait si son ancienne petite-amie la torturait encore, Eudémonia se figea; non... Il ne fallait pas que ça sorte..! Elle aurait encore plus de problèmes! Alors, tremblante, l'adolescente répondit d'un ton qu'elle se voulait convaincant:

-Euh... Non, non..! J'ai juste trébucher malencontreusement sur une roche ou une racine, alors que je marchais dans la forêt, rien de grâve! Ça s'est rouvert bêtement, c'est tout! *Malgré que... Ça aurait pu fonctionner, comme excuse...

Maxime vint glissé sa mains contre sa blessure ouverte puis sa mains frola sa peau ses yeux virèrent au rouge puis il recula pour la regardé droit dans les yeux puis venir prendre la tête de la petite entre ses mains et la collé contre lui il la serra puis il se leva il aurait tout petté cette conne l'avait encore battut et sans même qu'il ne sans rendre compte il aggrippa la photo de véconielle et la tirra dans un élan de colèrent au sol la vitre cassa au sol il aggrippa ses cheveux il se les aurait arraché de sur la tête il fixa Eudémonia puis la photo au sol la vitre il rumina s'Accotta au mur puis il murmura :

Comment ta put me faire croire que je serais un bon père ... comment ...

il rumina puis il glissa sa mains contre les vitre qui vinrent lui coupé le bout des doigts mais il ne sans plaignit pas il fit que glissé ses doigts entre les vitre pour prendre la photo il avait la mains tremblotante il avala sa salive dans une pointe de désatisfaction il était décendut si bas ...

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Eudémonia poussa un petit cri de surprise alors qu'il jetait le cadre de vitre de toutes ces forces sur le plancher. Elle tourna un regard presque terrifié vers Maxime, qui fixait la photo entre ses doigts ensanglantés. La jeune fille murmura, tremblante:

-Euh... Pa... elle s'arrêta en plein milieu de sa phrase, réalisant avec une ironie des plus dures qu'il n'était plus son père. Alors, elle se reprit, poursuivant, Ma..Maxime...?

Maxime la regarda puis il soupira il se leva puis il murmura debout devant Eudémonia un regard des plus tristes :

J'aurais tellement aimé être capable de m'occupé de toi ... pouvoir être comme un père pour toi ... enfin je croyait l'être jusqua ressament ... elle m,avais caché sa ... je ... je t'aime tu le sais sa ... et même si je ne suis pas ton père je me suis occupé de toi et tu es comme ma fille ... je serais toujours là pour toi ... maintenant tu est en age de décidé se que tu veux faire ... Eudémonia ... je veux juste que tu fasse attention a toi et si quelque choses ne va pas tu me le dit il te manque quelque choses tu viens me voir la porte est toujours ouverte ...je sais que tu n'as probablement pas envie de me voir mais si l'envie te prend vien ...

il soupira puis il ramassa le dégat doucement lui donna un baissé sur la t^pete avant de simplement quitté il était mélangé lui même dans se qu'il disait ...

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Eudémonia le regarda partir, une pointe au coeur; c'était donc comme ça que ça allait se terminer...? Elle baissa la tête avec un soupire à fendre l'âme. Plus vite elle partirait, mieux ce serait; ainsi, elle cesserait de faire souffrir les autres autour d'elle. La jeune fille balaya la pièce du regard, consciente que c'était peut-être la dernière fois qu'elle mettait les pieds ici. Puis, dans les minutes qui suivirent, ce fut comme une montée d'adrénaline ou de courage venu de nulle part qui monta en elle. Elle ramassa la plupart de ses affaires pour se faire un petit baluchon avec un drap; elle n'avait pas bien bien de choses lui appartenant, de toute façon et le mieux serait de ne pas prendre grand chose pour voyager plus léger. Après avoir nouer le petit sac par les coins, l'adolescente se dirigea vers la porte et s'arrêta sans trop savoir pourquoi avant d'en avoir franchis le seuil. Eudémonia regarda une fois de plus la pièce qui l'avait vue grandir et qui connaissait toute sa vie. Elle ne put s'empêcher de ressentir une pointe au coeur, mais il le fallait bien... Avec une profonde inspiration, l'adolescente referma la porte puis se dirigea vers le village le plus près pour aller se trouver du travail ou un endroit où vivre...

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Daisuké arriva doucement un sac sous le bras il arriva sur le paon de la porte Eudémonia des sacs en mains qui semblait vouloir partir il glissa sa mains contre son bras puis l'Arrêta pour murmuré :

Hey ho sa va pas partir comme sa en sauvage ...

il la regarda puis la fit reculé doucement il prit son sac puis le déposa au sol pour la prendre comme un bébé et sourire doucement il s'Assit sur le lit puis l'Allonga a ses côtés puis,sourit doucement puis il vint prendre sa mains :

Si ta besoin d'une plae ou resté j'ai une petite maison pas trop loin d'ici ... je travail comme forgeron ... enfin... c'Est asser payant ... et j'ai réussi a m'acheté sa si tu veux je t'éberge un moment et aussitot que ta trouvé un truc et bien tu pourras partir et je te jure que c'Est en amis ... sa me fera un plaisir de t'Avoir avec moi ... et te redonné un peu de pep te ferais pas de mal ... sa te feras du bien de t'évadé a ma fais un grand bien a moi ...

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-Non, ça va, je vais m'organiser moi-même, répliqua-t-elle froidement en se dégageant lentement de son étreinte: *Justement, ça t'a fait du bien parce que je n'étais pas là! Alors ne viens pas me demander d'aller rester chez toi en plus!* songea Eudémonia avec animosité. La jeune fille se releva pour rester debout près du lit et fixer le plancher d'un regard absent. Elle poursuivit d'un ton tout aussi acide, Je n'ai plus rien à faire ici, je m'en vais loin.... Je ne suis pas pour aller te pourrir la vie comme je l'ai fait pendant les années où tu étais encore ici. Je suis désolée, mais j'en ai assez de m'attirer la poisse et d'en faire "profiter" ceux qui me tenait jadis à coeur... Et, de toute façon, tu as vu quelqu'un qui m'aime, ici?

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Daisuké sourit doucement puis il vint glissé sa mains contre la sienne pour le lui embrassé et murmuré en aggrippant sa taille de l'autre tout en l'Approchant de lui pour posé sa tête contre son petit corps frêle :

J'existe vraiment pas a tes yeux ...si il y a quelque qui t'aime plus que tout ses moi ...

il sourit se décolla pour la regardé droit dans les yeux et murmuré :

Tu ne me pourrira pas la vie ... mais je t'aiderai et sa serais pour quoi a
peine trois semaine sa ne me fais rien ... le temps que tu voudras le temps que sa te prendras pour te trouvé un travail ... et le temps de t'Acheté une petite maison ... je veux juste t'aidé un peu ... je vit seul j'ai rien que moi mais j'ai une autre chambre je pourrais y installé un lit et je pourrais t'aidé a porté tes bagages je repars même se soir si tu veux partir le plus vite possible ... et ne pence pas me dérangé je te l'offrirais pas sinon ...

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Eudémonia fronça les sourcils en l'entendant dire qu'il repartirait le soir même; il n'avait donc pas passer chez ses parents...? Et, manifestement, il n'en avait pas l'intention... Elle soupira; qu'est-ce qu'il pouvait être insistant et harcelant...: *Il n'a pas changer un brin* Songea la jeune fille avec un pincement inexpliquer au coeur. Elle lâcha du bout des lèvres, presque en un murmure inaudible:

-Tu n'as pas encore été voir tes parents...? Ils s'inquiètent toujours, tu sais...

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Je suis allé cherché quelque morceaux de linge et je leur est laissé un mot j'ai serré mes frères et soeur ... et je suis partit mes parents était partit ... c'Est tout et puis ... Ma mère va encore capoté et va vouloir que je reste ... et je suis bien là bas ...

il la regarda droit ans les yeux puis doucement il la lacha pour reculé et murmuré :

Mais toi sa a pas l'air d'allé mieux ? Ques que tu as ... ?

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-Tu ne veux pas le savoir, répliqua Eudémonia du tac au tac. Même si elle disait que ça ne l'interessait pas, c'était peut-être elle, en fait, qui ne voulait pas en parler... C'est vrai que n'importe qui qui se ferait dire par celui que l'on croit être son père qu'il ne l'es pas vraiment déprimerait... Finalement, à force de croiser son regard des plus insistant, l'adolescente finit par lâcher du bout des lèvres d'un ton qui ne trahissait aucune émotion, Maxime n'est pas mon vrai père... C'est celui qui a violer ma mère qui l'a mis enceinte..., Eudémonia tourna la tête pour se soustraire à son regard interrogateur; oui, il avait bien entendu...!

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Daisuké la regarda puis il se leva et il vint enroulé ses bras a sa taille pour la serré contre lui glissant sa mains contre son visage pour l'oubligé a le regardé :

Arrête de détourné le regard ... tu sais bien que je n'Est rien a dire ... tu veux pas en parlé on n'en parle pas c'est tout ... et puis quoi tu l'aurais perdut un jour et sa t'aurais fais encore plus de peine ...

il trouvasit poche se qu'il disait mais c'était vrai ... quoi ... il vint posé un baissé sur son oreille puis il recula et la lacha totalement pour murmuré :

Je vais retourné la bas se soir ... si tu veux un endroit ou dormir cette nuit ta qua me suivre et gêne toi pas de resté plus longtemps ma maison est la tienne Eudémonia ... sinon et bien j'espère que tu t'en tireras ... et tu es mieux de faire attention a toi !

dit t'il avant de la serré contre lui puis posé un baissé sur sa joue puis il prit sa mains et y déposa un baissé :

Allé je t'aime princesse !

Il se pencha prenant son sac et attendant un réponce claire et nette pour une fois ... elle avait le sort entre ses mains il lui offrait tout simplement une nuit ou l'hospitalité le temps qu'elle voudrait il ne voulait pas qui lui arrive rien et de l'avoir encore un peu près de lui , serai bien .

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Eudémonia baissa la tête une fois de plus avec un soupire; qu'il était insistant...! À bien y penser, elle était peut-être mieux d'accepter; Se jeter en plein dedans un monde complètement inconnu sans aucune préparation ni certitude n'était pas très intelligent de sa part. Au moins, elle aurait un toit sous lequel dormir et serait en sécurité... Mais même avec tout ces arguments, elle n'était pas capable de se décider... Elle finit par lâcher avec un autre profond soupire:

-D'accord... Je vais peut-être passer chez toi...

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Daisuké sourit doucement puis il se leva pour prendre son sac et le mettre sur son épaule plus grand qu'elle d'aumoin une tête et plus gros peut être deux fois ... non ses épaules trois fois plus large qu'elle et son corps deux fois mais pas un pouce de gras il était fait comme Kurogané . Il posa sa mains contre ses reins pour la regardé droit dans les yeux et doucement baissé le regard pour la regardé droit dans les yeux :

Tu viens maintenant ? ou t'aime mieux attendre encore même si t'avais l'air pressé ... enfin ... si ta trop de bagage je peut t'en porté ...

il sourit doucement puis il se réassit a force de resté debout a ses côtré il aurais mal au cou il préférait s'assir et attendre son verdique .

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-Non, ça ira, je vais attendre..., trancha-t-elle avant de poser la main sur la sienne et de la retirer lentement. Même si elle sentait le besoin urgent de dégager à l'instant, Eudémonia allait attendre; même s'il était plein de bonne volonté, elle hésitait encore et toujours à aller rester ne serait-ce que quelques jours chez lui... Elle ignorait d'où venait cette confusion, mais on aurait dit qu'une partie d'elle-même ne le savait que trop bien...

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Daisuké la regarda sourit puis il se leva doucement remettant son sac en place il la regarda doucement puis il murmura doucement :

Je suis content de t'Avoir revut ... et bien ... j'Espère que tu t'en sortiras ... et promet moi de faire attention a toi d'accord ?

il fouilla dans son sac puis il sortit une pomme il avait faim , il prit une croqué puis la regarda en rigolant pour se dirigé vers la porte et murmuré :

Et bien ... si tu viens pas maintenant tu sauras pas ou j'habite alors probablement la dernière fois quon se vois ... a la prochaine tout de même ...

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Eudémonia hocha la tête pensivement en le regardant franchir le seuil de la porte. Elle resta longtemps là, indécise, à fixer le plancher après qu'il fut parti; une partie d'elle-même lui hurlait de le suivre pour ne pas perdre sa trace et ainsi profiter de son hospitalité, mais une autre l'exhortait à rester ici et à partir dans sa direction. La jeune fille soupira bruyamment; ce qu'elle pouvait haïr ces combats intérieurs..! Après quelques minutes à essayer de démêler ses pensées rageuses, l'adolescente décida de partir et elle verrait en court de route ce qu'elle devrait faire; aller voir Daisuké ou poursuivre sa route. Eudémonia prit une profonde inspiration; bon.... c'était le temps où jamais! Laissant toute son ancienne vie derrière, ses souvenirs, son enfance, ses parents -Ou plutôt, sa mère -, elle sortit pour une dernière fois de sa chambre, se dirigeant d'un pas ferme mais boitillant vers la porte du pensionnat...

Véconielle apparût doucement du néant comme si la poussière recouvrant les meubles avait prit vie. Comme à chacune de ses apparitions, une fine couche de glace recouvrit bien vite les fenêtres et tout ce qui pouvait bien y avoir de métallique dans la petite chambre qui avait jadis été la sienne. S'asseyant doucement sur le lit, le fantôme caressa lentement les draps encore défait; sa petite fille n'avait peut-être pas eut le temps de tout ranger avant de s'en aller... La pensée que sa fille ait fuit le pensionnat fit naître une larme dans ses yeux d'un bleu-vert profond. La petite goutte d'eau roula le long de sa joue satinée et tomba sur les couvertures, se figeant instentannément en une larme de glace. Toute la tristesse qui l'habitait depuis qu'elle avait quitter les deux êtres qu'elle aimait le plus n'avait pas d'égal sur cette terre...

Maxime arrivais de sa chambre ou il avait dormit quelques nuits après avoir été voir sa fille a sa chambre il voulait voir si elle alait bien donc il se diriga vers sa chambre . Il poussa la porte doucement pour ne pas la dérangé , puis il passa sa tête dans l'embrasure pour apercevoir le visage de véconielle . Il sourit doucement poussa la porte puis il vint enroulé ses bras a son petit corps la serrant tout contre lui il enfouit sa tête dans son cou et il y déposa un baissé :

Chérie...si tu savais comment sa me fais du bien de te voir ...

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