Çampement secret de Gontrac

Seishirô arriva au campement par la voie des airs. Il se posa par terre et déposa Brooke sur le sol puis trancha ses liens. Il la laissa là et alla chercher Véconielle en prennant un air terrifiant:

-Alors, tu n'as pas bougé d'ici? demanda-t-il avec un sourire en coin.

Le jeune homme prit la chaîne qui lui liait les mains dans le dos et la poussa dans le dos. Il sorti avec Véconielle de la tente et Seishirô s'arrêta devant Brooke:

-Ça va?

Seishirô se contenta de la regarder puis, il lui proposa:

-Si tu veux, je pourrais te racompagner au pensionnat...

Je ne suis pas le bienvenue au penssionnat !

Répondit t'elle d'une voix sans vie et elle se lessa tombé sur le sol et ferma les yeux doucement

-Tu ne viens pas de là? demanda-t-il, assez surprit.

Brooke regarda Seishirô :

Je suis rodeuse !

Je vie quelque pard dans la forest !

Répondit t'elle en restant couché encore les yeux dans le vide

Seishirô se mordit la lèvre en la regardant:

-Si tu veux, je pourrais te raccompagner... se proposa-t-il, sans vraiment pensé à Véconielle qu'il devrait soit traîner jusque là-bas où laisser ici...

Brooke s'assis doucement en ne fesant aucun geste brusque puis elle hocha la tête et lui dit toujours un regard vide :

Si tu veux ! ...

Puis elle se leva et se diriga vers sa ''maison''

Seishirô courru pour essayer de suivre Brooke. Il stoppa pour attacher Véconielle après un apres un arbre et poursuivit son chemin après lui avoir lancé, d'un ton lourd de menace:

-Si jamais tu t'enfuie... Je te dit que tu ne pourras même plus te traîner par terre...

Gontrac arriva et vit Véconielle attaché après l'arbre il eu une envie soudain de se vangé il la regarda méchament et lui adressa un sourire sadik contourna l'Arbre en lui disant :

- Tien on ta laissé seul sans surveillance ... faudrait pas te faire faire mal non !

Répondit t'il sarcastiquement

Véconielle se retourna, suprise par cette arrivée innatendue. Elle avait essayer de se débattre, mais sans succès. La jeune fille le regarda, prennant peur:

-Qu'est-ce que vous me voulez? demnda-t-elle, le ton de sa voix trahissant sa poeur.

Gontrac prit son Katana et fendit la chaine qui la tenait prisonière il lui prit le bras et l'apporta de force dans la tente oui il la cloua sur le sol et lui souria sadiquement avant de lui ôté son chandail et de lui dire :

J'ai une dette envers lui qui ta capturé !

Et je doit me vangé sur toi !

Désolé !

puis il ricana diaboliquement et il ôta son chandail (a lui) et posa ses doigts sur sa brassière

-L...Lâchez-moi! cria-t-elle en laissant libre-cours à ses larmes. La jeune fille se débattit comme elle pu, réussissant à lui faire lâché prise momentannément. Elle rampa comme elle pu et se leva brandissant son poing, ne me touche plus!

Gontrac lui prit le bras et la plaqua au sol puis il lui ôta sa bracière et lui enleva brusquement ses pentalon avant de sans prendre au bobette XDil lui dit :

Plus que tu te débat plus que je saurais cruel !

Puis il souria sadiquement

-Pitié, lâchez-moi! Qu'est-ce que vous me voulez? pleura-t-elle en essayant de le repousser.

Je veut payé ma dette envers celui qui ta capturé !

Puis il détacha sa pentalon

Et désolé c'Est a lui que tu aurais du dire sa avant !

-Je vous ai dit de ma lâcher! lui cria-t-elle en se débattant furieusement. La jeune fille se défit de son emprise et se recroquevilla sur elle-même et pleura.

Gontrac lui tira sur le bras et la coinsa sous lui a cheval sur elle et lui ôta le reste de ses vêtement et entra en elle rudement et lui dit :

T'Arrête sinon sa va être pire !

Ma jolie !

Véconielle prit son courage à deux mains, decidant d'ignorer les avertissement du jeune homme et lui fouttu un solide coup de poing sur la mâchoire. Elle se tassa d'un bond et attendit sa réaction, les jambes repliés sur elle-même:

-Je t'ai dit de cesser! répéta-t-elle, sa voix bredouillante trahissant les larmes qui coullaient sur ses joues.

Gontrac lui souria sadiquement en essuyant sa machoire qui saignais puis il la frappa a la figure et l'agrippa par le bras et la cloua au sol et lui dit :

Si je serai toi je ferai attention pour ne pas provoqué le tueur que je suis donc calme toi !

Puis il la cloua au sol et recommenca rudement en lui tenant fermement les bras pour ne pas quelle se sauve

Au milieu de ses cris de douleurs et de ses sanglots, Véconielle réussi à articuler des supplications incompréhensibles:

-Ar..arrête..! Pitié...!