Chemin collée à au pensionnat

- Bah j'ai redresser mes manches et j'ai rentrer dans l'tas !

- Rentrer dans l'tas ! Mais comment as-tu fais ?!

- Ben on avait des armures.

- Ah oui !? Des armures..?

- Oui ! Mais nous avions aussi des armes..

- Des armes ? Mais pour quoi faire ?

- Pour nous protèger contre les ennemis, la guerre c'est dur !

- La guerre ? Mais de quoi parle tu ?

- Ben de la guerre, de l'armée dont j'ai fais parti ! Tu ne parlais pas de ça ?

- Non.. Mais tu as fait la guerre ? Fascinant..

- Oui.. je l'ai fait plus jeune. Enfait, je l'ai quitter il y a 1 mois environ. Je ne pouvais plus tuer. J'ai donner ma part.

- Bien.. mais pour un empatique, ça dû être dur ! De ressentir tout les personne hurler..

- C'est une des raisons qui m'a forcer à abandonner. Je ne pouvais pas continuer à me faire taire. Je ne faisais jamais silence. C'était vraiment impossible. Nous entendions toujours des bruits de fusil ou de pas.

- Ça devrait être épouvantable !

- Oui.. j'avoue. J'ai un peu honte maintenant. Je veux dire, j'ai honte d'Avoir vécu mon enfance ainsi. Dans la douleur et les larmes. Mais ce qui m'attriste le plus est le fait que c'était moi qui causait cette douleur.

Kal leva les yeux vers le balcon d'Elektra. Il y ressentit une peine immense, déchirante tel un couteau fraichement aiguisé. Il se tourna vers Elektra :

- Tu ressens ?

- Oui.. je la ressent, fit Elektra, tout en alerte.

Elle eu alors un pincement affreux au coeur. Elle leva la tête, le pincement se fit plus violent.

- Nathan...

Elle se leva et courru vers le pensionnat.

Elektra déboucha en dehors du pensionnat qui commençait à l'étouffer. Elle vit Enfin Kal et se dirigea doucement vers lui.

- Salut, fit-elle en accompagnant ses mots d'un lever de main.

- Salut... ça va ? Tu es parti vite tout à l'heure ?

Il s'assit.

- Bien disons que j'avais des choses à règler.. fit-elle en s'assisant en face d elui.

- Je vois.. Ils s'appellent Nathan ce que tu as à règler. ?

- Je.. désolé je ne voulais pas être indiscret.