Jardin

Eudémonia arriva en clopinant jusqu'au jardin. Elle se laissa tomber sur une petite balançoire en bois qui pendait d'un arbre avec un long soupire. Il commençait à être temps qu'elle arrive; sa cheville douloureuse flanchait sous chacun de ses pas, faisant sévir une cuisante souffrance qui faisait comme un courant électrique le long de sa jambe jusqu'à son cerveau. Levant une pair d'yeux vide vers le bleu ciel d'été, elle fixait sans les voir les nuages blancs et cotonneux qui flottait paresseusement dans les airs. Se sentant observer, elle tourna lentement la tête pour apercevoir un jeune homme la fixant à plus ou moins une dizaine de mètre d'elle. Le regardant d'abord sans rien dire, elle finit par laisser tomber d'une voix rouillée de n'avoir parlée à personne durant des semaines et rêveuse, comme si son esprit était occuper ailleurs:

-Vous ne vous enfuyez pas...? D'habitude, lorsque les gens me voient, ils se sauvent presque en courrant... un esquisse de petite rire rauque et ô combien ironique lui monta à la gorge alors qu'elle tournait les yeux une nouvelle fois vers le ciel en poursuivant, Comme si ça ne me suffisait pas... Avec une figure et un corps comme le mien, ce n'est pas étonnant... la jeune femme tourna une fois de plus la tête vers son interlocuteur qui la regardait, muet, Vous êtes encore là...? Je ne vous effraie pas trop...? Ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude...Eudémonia baissa les yeux vers le sol à nouveau, continuant de se parler à elle-même; c'était à se demander si elle n'était pas folle...

Daisuké avanca d'un pas lent vers elle il vint glissé ses doigts sous son menton un petit sourire mignon s'affichant sur ses lèvres il se pencha pour humé son odeur il savait qu'elle ne lavait a peine vut venir vers elle , il déposa un baissé sur sa tête pour murmuré en s'agenouillant devant elle une main qui se déposa sur son genoux d'un facon presque romantique il murmura :

Jamais plus je ne te fuiré ... tu as été pour moi une cure ... j'ai du me défaire de tout se qui me fessait pencé a toi se n'Est pas évident quand faut décroché tout se qui est de fleur ... les nuages qui fond pencé a tes yeux et le soleil ... tes cheveux ...

il vint glissé ses bras contre elle et y resta longtemps :

Toujours aussi magnifique ...

il déposa un baissé sur sa joue puis la fit embarqué sur lui elle pesait une plume il passa sa mains a sa taille pour l'empêché de versé :

Alors comment tu vas ?

Eudémonia le laissa faire, muette. Mais qui était-ce, cet homme...? Et pourquoi donc il la prenait comme ça, dans ss bras..? La jeune fille ne défit pas son regard du sien, perplexe; comme ça, on aurait une fillette qu'on aurait coupé de la réalité durant des années et qui venait de refaire surface dans un monde qui lui était totallement inconnu. Les sensations de son visage contre ses cheveux blonds et de ses lèvres contre sa joue n'étaient pas nouvelles, lui rapellant vaguement quelque chose. Elle avait déjà ressentit une pareille chose auparavant, mais où...? Elle ne saurait le dire; c'était comme si les années précédants les deux dernières semblaient aussi claires que de la purée de pois. La jeune fille, continuant de le dévisager et d'essayer de se rapeller où elle avait un pareil visage, mais plus jeune, murmura d'une petite voix:

-On... on se connait...? Voyant son air interloqué, elle fronça les sourcils; il pouvait peut-êre se poser des questions sur sa santé mentale, elle ne mentait pas, elle ne s'en rapellait peu ou plus du tout...

Daisuké se tappa la tête pour la laché et pouffé d'un petit rire fin il glissa sa mains contre sa taille . Son regard percant dans le sien il hocha la tête comment pouvait t'elle tenir elle n'était plus la une vraie " folle " et malgré son air morte vivante et ses plaies il trouvait le moyen de la trouvé ravisante pourquoi il avait fallut que se sois cette fille si différente de lui peut être en avait t'il juste pitier quoi ... elle fessait reellement pitier la a essayé de deviné qui lui parlait . Il se leva puis il glissa sa mains vers sa jambe pour se penché plus bas et aggrippé la fleur qu'il avait comparé a elle pendants des annes il lui tendit et il murmura comme on l'aurait dit a une enfant:

Allé tien elle est a toi ...

il posa un baissé sur sa tête decus mais , il sans doutait trop , et puis depuis ses années a pleurés sur son pietre sort il avait accepté le fait qu'elle ne l'aimait pas et qu'elle l'aimerait peut être jamais . Il tourna les talon puis se dira vers la porte du pensionnat .

Daisuké se retourna au insulte qu'il entendit il rumina puis il fut déchainé il sauta carrément sur deux mecs les frappant un prof vint les séparé il semblait si frustré il cria de ne plus jamais même posé ses yeux sur elle les mecs plus jeune le regardèrent casi horrifier . Daisuké les dévisagea puis il détourna son regard sur Eudémonia qui fixait toujours la fleur il en avait les larmes au yeux , il rumina et le jeune rigola pour murmuré :

Un autre fou ... va la rejoindre sa serais domage qu'elle se coupe les veines seul ...

Daisuké se retourna et le frapap a la figure le jeune se tue , Daisuké lui vint s'approché d'eudémonia il la prit dans ses bras les filles eux le trouvant hiper mignon . Il l'Apporta pret du lac ou il allait toujours il glissa sa mains contre sa joue l'allongant dans l'Herbe fraiche :

Tu seras tranquille ici ...

il soupira puis il la prit contre lui la serra puis glissa ses lèvres dans son cou son parfum qui le rendait si fou il murmura :

Pourquoi ? pourquoi tu me rend si fou ? ques que je t'ai fais? ... ques que tu m'as fais ?

Eudémonia le repoussa doucement avant qu'il ne puisse aller enfouir sa tête dans son cou. Elle le dévisagea de nouveau durant de longues secondes, muette, avant de finalement se délier la langue et de demander d'une voix suppliante à faire pitié:

-Je... je vous en pris.... Dîtes-moi qui vous êtes...! J'ai l'impression de vous connaître depuis toujours, mais... Je n'arrive pas à m'en rappeler... S'il vous plait.... Elle baissa le regard en l'entendant se demander qu'est-ce que la jeune fille pouvait bien lui avoir fait; encore une personne qu'elle rendait malheureuse et qu'elle blessait...: *Comme toujours... Ça recommence; je blesse des gens puis je vais me cloîtrer dans mon trou... Puis je reviens pour faire pareil... Tout ça dans mon propre interêt...* Mais... Elle avait trop l'impression de l'avoir connu, cet homme; c'était trop étrange...

Daisuké la regarda la sentant encore résistance il la regarda puis il la croisa d'un regard sévère pour reculé glissé sa mains contre le front d'eudémonia il glissa sa grosse main qui fit le tour de sa nuque il la rapprocha de sa face pour murmuré et la secouer un peu :

Bordel revient sur terre Eudémonia ... ques que ta ... tu n'Est plus là ... ques qui peut te ravagé ainsi ...

il soupira il la sentit basculé vers l'Arrière il glissa sa main contre ses hanches la retenant pour voir sa jambe elle avait encore la blessure sur sa cuisse il colla son front au sien puis caressa de son pouce sa nuque murmurant d'un ton doux et vraiment triste :

Eudémonia ... c'est ...c'est Daisuké ... c'est moi ... beauté ...

il glissa ses lèvres sur son front puis la blottit tout contre lui allant posé un baissé sur son oreille sa mains enfouit contre sa tête la tenant près de lui :

Eudémonia...

il aurait put faire trois fois le tour de sa taille avec le corps qu'il avait il la serrait et il aurait put serré une peluche de la même facon .

-Mais, non.... Daisuké est m...., Elle ne poursuivit pas sa phrase, la suspendant en regardant le jeune homme dans les yeux, déboussolée; Eudémonia fronça les sourcils; c'est vrai qu'ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau...! Qu'est-ce qu'elle avait été bête! Puis, comme si une sorte de lumière venait d'éclater dans sa tête, elle se souvint de tout en une fraction de secondes; tout les moments qu'ils avaient passés ensemble redéffilaient devant ses yeux comme dans un film. Tout était clair, maintenant... Après quelques secondes pour retrouver ses esprits, elle fronça de nouveau les sourcils, le dévisageant sans rien dire. Puis, sans prévenir, elle le giffla de toutes ses forces, Mais t'es complètement pété, ou quoi?!! C'est quoi le but de revenir comme ça, sans prévenir?! On s'est tous fait un sang d'encre à ton sujet, tes parents et moi!! Et ils me détestent tout les deux! Il m'a prit au moins trois mois réaliser que t'avais décamper! Je pleurais chaque jours jusqu'à avoir les yeux enflés en parmanence, idiot! Maintenant, tout le monde me déteste, à cause de ça et... La jeune fille ne poursuivit pas, reprenant son souffle en le toisant presque méchamment; L'adolescente n'avait plus du tout l'air d'une folle, maintenant. Puis, son air éffarouché s'estompa alors qu'elle baissait la tête; elle avait honte, tout à coup, de s'être laisser emportée; après tout, c'était sa faute à elle, s'il était partit durant deux ans... Eudémonia se colla contre lui, l'enlâçant avant de lui murmurer, le nez contre son torse, Et puis... Va...va rejoindre tes parents.... Ils seront contents de voir que tu n'es pas mort, après tout... Puis, dans une lenteure infinie, elle se releva pour se diriger vers sa chambre, la tête basse et les dents serrés: *Fouttue cheville...!!* songea-t-elle rageusement alors que la douleur la terrassait.

Daisuké ne vit pas cette gifle venir mais tout les mots il les assemait un pard un les recevant a son cerveaux aussi fort que la gifle qu'elle venait de lui assemé puis il la regarda elle avait soudain reprit force enfin pour l'avoir frappé si fort en la voyant se levé après cette petite accollade il eux un léger sourire tout le monde l'aurait crut fou de sourire après sa mais il se retourna pour lui dire d'une voix mignone et asser fort pour qu'elle l'entende et s'Arrête le temps qu'il se lève et aille passé ses bras autour de son cou murmurant le sourire au lèvre et d'une voix coquine :

Moi aussi chuis content de te voir ... ! Désolé je suis partit en furie je croyait que tout était contre moi et ... et on parlera de sa un autre fois tu veux ?

il déposa un baissé sur sa joue puis il alla en devant d'elle et la serra contre lui la levant même de terre il colla son nez au sien et il murmura :

Attent moi dans ta chambre et je t'Expliquerai ...enfin si tu veux ... je vais allé voir mes petites soeurs et mon frère ... puis je revint te voir j'ai besoin de te parlé ...

il posa un baissé sur son front venant caressé sa nuque puis il se décolla et partit doucement un pied qui semblait déssisif se dirigant a la chambre de ses parents